Aller au contenu
Retour
messe en ré de dvorak (1)

Dvořák - Messe en Ré

Dans le cadre du Festival de Lanaudière

DIMANCHE 3 JUILLET 2022

Concert d'avant-messe 10 h
Messe concertante 10 h 30
Gratuit
Cathédrale de Joliette
En savoir plus

Dvořák - Messe en Ré

Dans le cadre du Festival de Lanaudière

Programmation

Le Choeur du Musée d’art de Joliette sous la direction de Roseline Blain
avec Jacques Giroux, organiste et directeur musical des Messes des Artistes

10h : Prestation d’avant-messe :

  • *Fanfare pour un Festival de J. Hétu
  • *Bagatelle op.47, no.1 de A. Dvořák
  • Cantique de Jean Racine de G. Fauré
  • *Danse slave no.1 de A. Dvořák
  • Locus iste de A. Bruckner
  • *Paraphrase autour de la 6e symphonie (Mvt 1) de A. Dvořák

10h30 : Messe concertante

  • *Paraphrase autour du choral de la 1ère symphonie (Mvt 4) de J. Brahms
  • MESSE EN RÉ MAJEUR, OP 86 DE ANTONIN DVOŘÁK
    (Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus et Benedictus, Agnus Dei)
  • Psaume (Choral) de J. Giroux
  • Accalmation à l’Évangile de D. Gagné
  • Offertoire : Tebe Poem de D. Bortnianski
  • Communion : Ubi caritas de M. Duruflé
  • *Communion : Choral St. Anthony, variation sur un thème de Haydn de J. Brahms
  • *Sortie : Oratorio Sainte Ludmila, 3e acte, Introduzione e coro de A. Dvořák

*Solo à l’orgue par Jacques Giroux

Description

La Messe en Ré, bien que de caractère sobre et réservé, est un véritable témoignage de foi de la part du compositeur. «Elle pourrait s’appeler : Foi, espérance et amour du Dieu tout-puissant, et action de grâces parce que j’ai pu achever cette œuvre à la gloire de l’Éternel et de l’Art. Ne soyez pas surpris de ma dévotion. Seul un artiste dévot peut engendrer une œuvre de cette sorte. Bach, Beethoven et Raphaël en sont la preuve. » (Dvořák)

Très pieux et exposé très jeune à la musique religieuse comme soprano dans sa chorale paroissiale, Dvořák composera toute sa vie de la musique sacrée. Ses talents précoces à l’orgue le mèneront à amorcer une carrière d’organiste dans une petite paroisse de Prague.

Pas étonnant donc que Dvořák voulut écrire une messe d’envergure pour chœur et orgue. Bien que son éditeur se montrait plus ou moins intéressé par la publication d’une messe, il écrivit tout de même en 1887, la Messe Opus 86 dans une version avec orgue. Deux ans plus tard, Novello accepta d’éditer la Messe sous condition que Dvořák en réalise l’orchestration. C’est en 1893 que l’œuvre fut créée à Londres dans sa seconde version, consacrée dès lors par le public anglosaxon comme l’une des plus grandes œuvres, lui assurant une large communauté d’admirateurs jusqu’aux États-Unis en plus de celle déjà gagnée partout en Europe.

Roseline Blain, directrice artistique

Artistes invité(es)

Monika Dongmo Mazanka

soprano

Soprano lyrico-spinto au timbre riche, Monika est née au Cameroun, elle découvre le chant dès sa tendre enfance en participant aux chorales paroissiales avec sa famille.  C’est autour de l’âge de 10 ans, en écoutant pour la première fois le Requiem de W.A. Mozart, qu’elle tombe amoureuse du chant lyrique.

En savoir plus sur Monika Dongmo Mazanka

Ghislaine Deschambault

mezzo-soprano

Reconnue pour sa voix enveloppante et sensuelle, la mezzo-soprano Ghislaine Deschambault se produit régulièrement dans un répertoire musical très varié, passant avec fluidité de la musique médiévale à la musique contemporaine. Les projets inusités et l’exploration de nouveaux territoires artistiques la passionnent tout spécialement.Elle fut acclamée par la critique pour son interprétation de La porte de José Évangelista, monodrame pour voix et percussions.

En savoir plus sur Ghislaine Deschambault

Bernard Cayouette

ténor

Bernard Cayouette a étudié le chant au Conservatoire de musique de Montréal. Soliste apprécié pour sa fine musicalité, il a chanté à la grandeur du pays sous la baguette de chefs réputés tels que Kent Nagano, Hervé Niquet et Christopher Jackson. Pendant plus de 10 ans, il à participé à tous les concerts donnés par le Studio de musique ancienne de Montréal de même qu’à ceux de Viva Voce sous la direction de Peter Schubert. On a pu le voir comme soliste à l’Opéra de Montréal dans Roméo et Juliette (Benvolio) de même qu’à l’OSM (Messe Nelson, Magnificat de Bach).

En savoir plus sur Bernard Cayouette

Pierre-Étienne Bergeron

basse

Membre de l’Atelier Lyrique de l’Opéra de Montréal de 2007 à 2009, le baryton Pierre-Etienne Bergeron y a interprété entre autres les rôles de Guglielmo dans Così fan tutte, Ramiro dans L’Heure espagnole, Ernesto dans Il Mondo della Luna, Normanno dans Lucia di Lamermoor et Bello dans La fanciulla del West.

En savoir plus sur Pierre-Étienne Bergeron

La Messe en Ré, bien que de caractère sobre et réservé, est un véritable témoignage de foi de la part du compositeur. «Elle pourrait s’appeler : Foi, espérance et amour du Dieu tout-puissant, et action de grâces parce que j’ai pu achever cette œuvre à la gloire de l’Éternel et de l’Art. Ne soyez pas surpris de ma dévotion. Seul un artiste dévot peut engendrer une œuvre de cette sorte. Bach, Beethoven et Raphaël en sont la preuve. » (Dvořák)

Très pieux et exposé très jeune à la musique religieuse comme soprano dans sa chorale paroissiale, Dvořák composera toute sa vie de la musique sacrée. Ses talents précoces à l’orgue le mèneront à amorcer une carrière d’organiste dans une petite paroisse de Prague.

Pas étonnant donc que Dvořák voulut écrire une messe d’envergure pour chœur et orgue. Bien que son éditeur se montrait plus ou moins intéressé par la publication d’une messe, il écrivit tout de même en 1887, la Messe Opus 86 dans une version avec orgue. Deux ans plus tard, Novello accepta d’éditer la Messe sous condition que Dvořák en réalise l’orchestration. C’est en 1893 que l’œuvre fut créée à Londres dans sa seconde version, consacrée dès lors par le public anglosaxon comme l’une des plus grandes œuvres, lui assurant une large communauté d’admirateurs jusqu’aux États-Unis en plus de celle déjà gagnée partout en Europe.

Roseline Blain, directrice artistique